Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (18) : Au Tour De Philippe !

Beaucoup disent que les maris candaulistes sont en fait des homosexuels refoulés et qu’ils s’identifient au plaisir que l’amant donne à leur épouse, qu’ils s’imaginent à la place de celle-ci quand elle est sous le joug du mâle. Je ne sais pas si c’est vrai, mais c’était incontestablement le cas de Philippe, qui pourtant, n’était jamais passé à l’acte. Son homosexualité refoulée avait d’ailleurs été l’une des difficultés qu’il avait rencontrées dans ses deux couples précédents, avec Flavienne et Patricia.
J’ai très vite compris cela. C’est pourquoi, dès les débuts de notre relation, j’ai pris l’habitude de sodomiser Philippe avec un gode-ceinture. Si son fantasme, qu’il a fini par réaliser, était de me voir prise par d’autres mâles, le mien était de voir mon chéri sucer une belle bite et se faire prendre. Je lui avais d’ailleurs fait promettre que, si je lui donnais satisfaction, alors il devrait, à son tour m’offrir cette satisfaction. J’avais constaté, en le godant, en le doigtant, en lui léchant le petit trou, combien il prenait son pied. J’ai toujours adoré le besogner, avec des godes de plus en plus gros, le traiter de pédé, lui promettre que, bientôt, un mâle en ferait ce qu’il était au plus profond de lui, une femelle.
Bref, je l’ai préparé pendant des années et ce fut Rachid qui eut le privilège d’être le premier amant de Philippe. Depuis, il y en a eu beaucoup d’autres. Aujourd’hui encore, quand nous recherchons un partenaire qui va m’honorer, je suis heureuse quand il est bi parce que je sais que mon chéri profitera lui aussi de la queue de notre bel amant. Sinon, je l’encourage à prendre des amants, car je sais qu’il a besoin de ces amours entre hommes, comme j’ai besoin de mes ébats saphiques. L’année dernière, nous sommes allés passer une semaine en Tunisie pour que Philippe puisse s’offrir à Mohamed, un jeune Tunisien homo, mais actif, rencontré sur les réseaux sociaux et qui avait envie de la bouche et du cul de mon chéri.

Une semaine torride dont je parlerai.
J'aime voir quand une queue entre dans le postérieur de mon mari! A chaque fois j'éprouve le même effet ; je mouille et suis obligée de me branler.
Depuis les débuts de ma vie sexuelle, j’ai toujours été fascinée par l’homosexualité masculine. J’ai raconté mes « activités » quand j’étais lycéenne, quand je jetais mon dévolu sur certains de mes professeurs. L’un de mes amants, Lukas, était bi actif. Pour lui plaire, j’ai servi d’appât à l’un de mes condisciples Constantin et j’ai accepté de m’offrir à ce dernier (ce qui m’a semblé bien fade), faisant en sorte que mon amant nous surprenne. Ça s’est terminé par le dépucelage anal de Constantin. C’est la première fois que j’assistais à des ébats entre hommes et j’ai adoré. Ce fut pour moi une véritable révélation. Je suis restée assez longtemps la maitresse attitrée de ce professeur vicieux et sa complice dans la recherche de puceaux à déniaiser. Ils voulaient se faire Olga, le prix à payer étant ensuite de se prendre la queue de Lukas dans le cul.
La vue de deux corps d’homme excités par le contact charnel, suscite en moi une véritable tendresse, un élan affectif qui me pousse à mater pour apprécier le plaisir qui se dégage de cette communion mâle.
Ce que je raconte dans ce récit s’est passé quelques mois après que je sois devenue la femelle de Rachid, quelques semaines après qu’il se soit installé chez nous et quelques jours après la folle partouze dans la maison de campagne de Jean et Christine.
J’étais impatiente de voir mon cher époux possédé à son tour par la puissante queue de Rachid.
Je commençais par mettre d’accord avec Rachid pour passer aux choses concrètes. Rachid n’était pas contre, bien au contraire, mais il était exclusivement actif. Jamais il n’aurait toléré qu’un autre homme lui demande de le sucer ou s’intéresse à son cul. Il avait connu plusieurs expériences, la première étant à l’époque où il était l’amant de Sylviane, sa professeure de Français.
Elle lui avait trouvé son premier amant, un collègue qui n’en n’était pas à son coup d’essai. Dès ce moment-là, Rachid se montrait encore plus macho envers ses amants qu’envers les femmes. Exprimant son plus profond mépris envers ce qu’il appelait des «fiotes», il se montrait envers eux d’une grande brutalité. Ils n’étaient là que pour lui « vider les couilles ».
Philippe, pour Rachid, était au bas de son échelle. Il avait été incapable de s’occuper de moi, il m’avait offert à lui et maintenant il allait lui offrir sa bouche et son cul.
• Chéri, je fais tout ce que tu veux depuis que nous sommes ensemble et je sais que tu prépares d’autres choses, j’ai entendu que tu en parlais avec Marie. Je peux moi aussi te demander quelque chose ?
• Je sais ce que tu vas me demander. Tu veux que je m’occupe de ton cocu.
• Oui, s’il-te-plait, chéri, j’en ai tant envie !
• T’inquiète, après l’avoir décoré de la plus belle de cornes de la ville, je vais lui casser le cul à ton Philippe. Ca me fait envie aussi. Et ça me permettra de vérifier s’il aime vraiment ça. Marie me suggérait de l’amener avec toi lors des prochaines séances que je prépare, ma belle salope. Non seulement il pourra mater, mais il pourra jouer un rôle actif, certaines personnes concernées aiment aussi une bouche et un cul de bourge.
• Tu m’excites !
• Vicieuse ! Je ferai de toi et de lui des salopes intégrales.
A son retour du travail, j’accueillais Philippe amoureusement. Je l’embrassais langoureusement :
• Chéri, ce sera un grand soir pour toi, pour nous deux. Tu n’as pas oublié ce que tu m’avais promis ?
• Non chérie, je sais ce que tu veux et j’en ai envie aussi. Depuis longtemps et je vais enfin franchir le pas. Grace à toi. Je t’aime
• Dès la première fois que je t’ai pris avec un gode, j’ai senti que tu le voulais, mais que tu n’osais pas. Tu verras, c’est exceptionnel de se faire mettre par une si belle queue.
J’accompagnais Philippe sous la douche et prit tout le temps pour le laver comme un bébé, pour le grand moment qui l’attendait.
Je l’embrassais, le caressais, le masturbais, le prenait en bouche, mais en évitant soigneusement de le faire jouir. Sacrifice pour moi car le sperme de Philippe est celui que je préfère et, depuis que nous sommes ensemble, c’est un rituel pour moi que de le pomper à fond à chaque fois que j’en ai la possibilité.
Nous revêtirent un peignoir et allèrent au salon, où Rachid nous attendait sur un fauteuil. Je tenais Philippe par la main. Après l’avoir embrassé, je fis tomber sous peignoir et le mien. Je m’approchais de Rachid, l’embrassais également :
• Philippe, parce que tu l’as voulu, je suis depuis juillet la femelle de Rachid. Je suis à lui, je fais tout ce qu’il veut. Je me suis offerte complétement à lui. Quand il le décidera, il me fera un devant toi. Aujourd’hui, je lui offre la personne que j’aime le plus au monde, mon mari. Rachid, Philippe est à toi maintenant !
Rachid se dirige vers Philippe et l’entraine sur un divan. Je les regarde. Je suis excitée comme jamais, mes tétons sont dressés, je mouille, je passe une main sur ma chatte pour me branler en les regardant. Ils s’embrassent. Dès ce moment, Rachid marque sa totale domination.
J'aime voir Philippe embrasser un autre homme. Je suis excitée comme ce n'est pas permis. Rachid s’est déshabillé aussi, son érection est formidable. Il serre Philippe contre lui pour qu’il sente l’envie du mâle, tandis que ses mains sont sur les fesses de mon mari. Déjà un doigt fouille l’anus.
Je suis nue, assise près d'eux : les queues sont sur le point de se toucher. Il me tarde surtout qu'ils se les prennent en mains pour se branler devant moi : deux types qui font ça ensemble devant une faible femme, c'est le paradis pour ma masturbation.
Rachid passe derrière Philippe, lui prend la queue dans une main, le branle lentement. Il connaît bien son affaire. Philippe sent la bite de son futur amant se loger dans ses fesses. C'est le moment béni pour lui.
Rachid est là cette fois, non pour moi, mais pour enculer Philippe et se faire sucer par lui.

Philippe se rapprocha de nous, les yeux écarquillés devant les dimensions, au repos, du gourdin de Rachid.
Philippe le prit dans sa main droite et commença à le caresser.
• Elle te fascine ma queue, hein, cocu ? Mais cette fois, c’est toi qui va en profiter et c’est Olga qui va mater.
Philippe rapprocha sa tête du bas ventre, sorti sa langue et se mit à titiller le gland et à le lécher. Il se mit à le caresser doucement avec mes encouragements.
- Vas-y, branle-le ! Oui comme ça ! Embrasse-le ! Il adore être embrassé et léché ! Descends jusqu’aux couilles ! Suce-le !
Je dirige la bite de Rachid vers Philippe et lui dit "... allez chéri vas-y suce mon homme... je sais que c'est un vieux fantasme...". Je l’embrasse sur la bouche puis lui dit... "Tu vois ça n'a pas mauvais gout... allez suce"....
Je lui présente la bite... met ma main derrière sa tête puis la dirige vers l'avant... la bite entre lentement dans sa bouche...Ce cylindre de chair dur et doux glisse entre ses lèvres faites rondes.... sa langue caresse la hampe au fil des aller retours, la bite pulse, vibre et fait des va et viens....
Philippe ouvrit sa bouche et goba le gland, qu’il enroula avec sa langue. J’attrapais sa tête pour la forcer à adopter le rythme qui convenait et, surtout, pour l’obliger à faire pénétrer l’engin jusqu’au fond de sa gorge. Il avait du mal à le faire au début; puis petit à petit, il s’habitua à l’engin.
Je regarde avec plaisir comme Rachid se fait sucer : la bite est presque avalée, puis mise presque dehors, la langue de Philippe la reprend avant de la remettre toute dans la bouche, et pourtant elle est longue. Le corps de Rachid est secoué de crispations : à chaque fois je pense qu'il va lâcher sa semence, je me trompe toujours. Il a bien raison en disant que seuls les hommes savent se sucer entre eux.
Je reste toujours avec ma main sur ma chatte et sur mon anus : je rentre souvent deux doigts dans le cul en attendant la suite.
Je lui tiens la tête puis accélère et Rachid lui dit
• mmm Phil je te baise la bouche. Mmm c'est bon... tu suces bien…
Rachid se mit à pilonner sans vergogne la bouche de mon mari, pendant que je m’étais mise à lécher l’anus de Philippe, lui léchait l’anus, mouillait l’anneau et introduisit deux doigts pour le masturber.
Je ne savais pas si Philippe prenait du plaisir à se faire pilonner par ce gros engin et si la masturbation de son cul lui apportait quelque chose. Ce que je savais, c’était que Rachid prenait un plaisir fou à baiser cette bouche. Il y allait en force, ne s’arrêtant une fraction de seconde que quand il le sentait sur le point de vomir, pour reprendre immédiatement après. De temps en temps je voyais Philippe qui levait des yeux larmoyants et j’étais encore plus excitée en voyant ses narines couler comme des fontaines et les commissures de ses lèvres laisser passer des litres de salive. Rachid et moi nous comportions comme de vrais sadiques ; j’adorais le spectacle de mon mari qui souffrait, mais qui résistait courageusement pour ne pas me décevoir.
Au bout d'un moment alors qu’il se régale à sucer, je mets également ma bouche sur le sexe de Rachid. Nos lèvres sucent en même temps… nos langues se mêlent….
Rachid pose une main sur sa tête et l'autre sur la mienne puis, tout en gémissant, il dit :
• MMMM je vais jouir……
Je devance la suite, bloque la tête de Philippe et tout en suçant Rachid, lui dit… "on partage….."
Les giclées frappent nos palais nos langues…. puis quand la bite de Rachid diminue… Philippe et moi nous nous embrassons et partageons le foutre tout chaud de Rachid.
Rachid, force de la nature récupère très vite, aidée par nos mains et nos bouches.
Philippe veut se faire mettre et Rachid a envie du cul de mon mari : il nous entraîne dans la chambre. Si avec une femme un homme prend pas mal de temps pour la caresser, chauffer, là pas de temps perdu : c'est direct.
Je suis toujours étonnée de voir un spectacle d'hommes qui s'aiment en regardant la rapidité de leur accouplement. Pour le moment, Philippe est couché sur le côté.
Ils semblaient m’ignorer, ne se quittaient pas des yeux comme hypnotisés l’un par l’autre. J’étais à l’extrémité du lit, si bien qu’ils s’allongèrent côte à côte. Rachid était à ma droite, mais il me tournait le dos. Philippe caressa d’abord les cheveux bruns et épais de mon amant, sa main glissant ensuite vers son bras gauche, son flanc, ses fesses. Rachid, de sa main puissante, releva la cuisse de Philippe dont il couvrit son flanc. Les testicules de Rachid furent alors rejetés vers l’arrière, ce qui n’échappa nullement à Philippe qui s’en saisit. Je le voyais malaxer ces deux merveilles de la nature. Puis Philippe fut pris d’une flamme qui le poussa à embrasser son partenaire. Rachid le macho acceptait ce baiser. Leurs langues s’entrelaçaient en dehors de leur bouche avec des bruits de succion qui éveillaient en moi un émoi sensuel.
Il apparut que les rôles étaient déjà distribués depuis le début, que chacun savait ce qu’il avait à faire. Philippe s’allongeant sur le dos, signe de soumission, invitait Rachid à le pénétrer. Rachid préparait l’orifice qui lui donnerait le bonheur, y allant de plusieurs doigts. Il me demanda d’aider à la décontraction des muscles, ma langue venait humidifier cette auréole qui était maintenant sa convoitise. J’avais déjà léché l’anus de Philippe, par plaisir pur, pour son plaisir, avant de stimuler sa prostate de mes doigts avertis.
• Prépare ton mari, femme. Il va l’avoir dans le cul.
Je m’approchais de ce cul que j’avais si souvent godé.
La raie était légèrement plus sombre et laissait entrevoir la rondelle grise et palpitante de l’anus. Je ne me posais plus aucune question. Cette rondelle m’attirait comme un aimant et depuis ce moment-là, mon seul objectif était d’en prendre possession qu’il soit ensuite défoncé avec force par mon amant. Je fis allonger Philippe sur le ventre pour mieux le voir et avoir plus facilement accès à son dos et à ses fesses. Je me mis à lui caresser et embrasser le dos, les épaules le haut des hanches, avant de m’attaquer à ses fesses.
Je promenai mes lèvres et ma langue sur l’une et l’autre des fesses tout en promenant les doigts de ma main le long de la fente. De temps en temps, je m’arrêtai sur l’anus pour le tâter et y introduire un doigt. Philippe, qui aimait mes baisers et mes caresses, me le montrait en gémissant doucement et en tortillant ses hanches, se figeait à chaque fois que j’approchais un doigt de son anus. Comme s’il attendait que je l’enfonce à l’intérieur.
• Enfonce-le ! disait-il, chaque fois qu’il sentait mon doigt s’approcher.
Chaque fois que je l’en éloignai, il poussait un soupir de protestation, avant de se remettre à gémir et à tortiller son cul sous mes baisers et caresses. Puis je me décidais à m’attaquer à l’anus. Je crachai sur mes doigts et enduisis la rondelle de salive pour la lubrifier. Je tâtai l’endroit pour en tester la résistance et d’un coup enfonçai deux doigts. Philippe poussa un petit cri de douleur, mais ne fit rien pour m’arrêter. Les deux doigts dans le cul, je forçais les hanches à se relever au maximum et à obliger Philippe à se mettre à quatre pattes. Il ne se fit pas prier. Il sentait que le moment de vérité arrivait; le moment où il allait accueillir l’immense sexe qui le faisait fantasmer.
A quatre pattes, j’avais le loisir d’avoir sous les yeux le superbe cul de Philipe, complètement offert à ma concupiscence. En dessous de la rondelle, je pouvais apercevoir les couilles et le sexe de mon mari. La nature l’avait pourvu d’un petit sexe. Mais ce petit sexe était en érection ! Preuve de l’état de très forte excitation dans laquelle il était.
Rachid bandait comme un âne ! Rachid voulait, sans plus attendre, prendre possession du superbe cul de Philippe. Il voulait le tirer en force ! Il voulait lui faire mal ! Il voulait qu’il se rappelle toute sa vie de cet immense zob qui lui avait rempli le ventre ! Je crachais une nouvelle fois dans ma main et enduisit l’anus de salive. Sans plus attendre, Rachid se plaçait derrière les fesses offertes, positionnait le gland à l’entrée de l’anus et d’une forte poussée de ses hanches, introduisit toute la queue à l’intérieur, jusqu’à ce que ses couilles cognent contre les fesses. Philippe poussa un énorme cri de douleur.
Philippe avait l’habitude que je le gode, mais n’avait jamais été pris par un pareil engin. Celui de Rachid lui fit très mal. Il avait du mal à aller et venir à l’intérieur de l’étroit boyau.
• Putain, t’es serré cocu. Mais ce n’en est que meilleur ! Quelle magnifique sensation ce cul aussi étroit et aussi serré sur mon sexe !
• J’ai mal, mais n’arrête pas, mec, casse moi le cul. Vas-y, après ma femme, c’est mon tour !
Je prends la queue de Philippe pour le branler pendant qu’il se fera enculer.
Curieuse je regarde comment la bite entre dans le cul de mon époux. J’ai commencé la masturbation : Philippe bande toujours autant, s‘il avait mal, il débanderait certainement. La bite va et vient dans le cul.
Rachid commence à pilonner Philippe d’abord lentement, puis plus vite. Il va de plus en plus loin dans son cul. Je suis bien placée pour savoir ce qu’il ressent. Le visage de Philippe exprime la jouissance, il sent bien la verge du mâle en lui, elle le comble, la verge coulisse facilement. Il ressort, rentre de nouveau, il pousse un cri, il s’enfonce et rentre son membre en lui jusqu’aux couilles.
Rachid entreprit de piner Philippe avec force, sans se soucier de ses cris de douleur. Il savait qu’au bout d’un moment, le temps d’une meilleure lubrification, la douleur se transformera en plaisir. Très rapidement, Philippe se mit à pousser de petits cris de plaisir, chaque fois que le sexe de notre amant le pénétrait jusqu’au fond. Le petit cri se transforma très vite en un très fort gémissement rauque, de plus en plus court et de plus en plus rapide.
Philippe ne s’appartenait plus ! Il était tout à son plaisir et à sa jouissance ! Il gigotait de plus en plus fort; balançait sa tête dans tous les sens.
• Oh que c’est bon ! Merci chérie pour ton cadeau ! Rachid, Olga et moi nous sommes à toi. Tu peux faire tout ce que tu veux avec Olga. Fais-la baiser comme la catin qu’elle est, féconde-la !
• Tu sais que t’es aussi salope que ta bourgeoise, prends-ça !
• Mets-la-moi bien au fond, casses-moi le cul !
Rachid allait et venait dans Philippe maintenant. Il était jambes en l’air, Rachid appuyant sur l’arrière de ses cuisses pour mieux pénétrer son partenaire. Philippe stimulait sa bite et grimaçait de plaisir à chaque fois que son amant envoyait son sexe en lui. Très vite Rachid se mit à pousser des gémissements que je ne lui avais jamais entendus. Il avait adopté un rythme rapide et saccadé.
• Mon Dieu, que ce cul est délicieux ! Tu aimes ça, tu es une femelle !
Philippe était sur le point d’avoir une énorme jouissance. Tout son corps était tendu et en attente de l’orgasme qui arrivait de très loin et qui dégringolait à toute vitesse pour se loger dans son bas ventre
• J’ai impression qu’il va jouir!
• Je vais me vider dans son cul. C’est bon. Viens femme regardez comme je fais couiner ton mari, tu aimes ?
• Ouiiiiii
Je cessais de le branler et jouissais à mon tour en même temps que les deux amants. Rachid éjacula une incroyable quantité de sperme dans le cul de Philippe, qui ressortit en totalité, sous les va-et-vient de son sexe
Philippe eut un énorme râle et hurla qu’il jouissait ! Qu’il jouissait très fort ! Il prit son sexe dans une main et accompagna la jouissance qui arrivait par une masturbation qui fit sortir tout le sperme que l’excitation avait emmagasiné dans ses couilles. Exténué, il s’affaissa sur le lit.
J’étais haletante, comme si j’avais moi-même participé à ce coït. Je n’osais rien dire. Je les laissais jouir de leur plaisir, comme s’ils avaient été seuls. Je m’assis à terre, profitant de la froideur bienfaitrice du carrelage.
Rachid tendit sa langue, invitant Philippe à le rejoindre. Ils s’embrassèrent amoureusement, comme j’aurais voulu que Rachid m’embrassât ainsi après l’amour. J’étais presque jalouse. Il promenait sa main gauche sur le corps de mon mari. Ce dernier s’était reposé sur la poitrine de son amant et avait de ce fait mouillé son torse et son ventre du sperme qui avait jailli de Rachid, mélangeant ce liquide procréateur au sien qui coulait encore de son sexe endolori. Il semblait se complaire dans cette humidité masculine. Leur baiser était interminable. Philippe l’agrémentait par des caresses qu’il prodiguait au sexe qui avait été en lui.
Par nos mains et nos bouches, Philippe et moi avons à nouveau réveillé l’érection de Rachid.
• Je veux le faire jouir une deuxième fois.
Le trou de Philippe était béant et la semence de mon mâle coulait abondamment. Rachid le pénétra à nouveau, se remit à aller et lentement en lui, réveillant petit à petit son excitation. Au bout de quelques allers-retours, il sentit les hanches de son partenaire se mettre à bouger pour suivre le rythme de ses coups de reins. Sans même qu’il lui dise quoi que ce soit, Philippe se remit en positon de levrette pour permettre au piston de Rachid de le pilonner en force. Il ne se fit pas prier pour le tirer comme un dératé, en ahanant à chaque coup de boutoir. Ils jouirent ensemble ; une superbe jouissance qui les vida tous les deux.
Désormais, le grand lit n’abritait plus seulement mes ébats avec Rachid, Philippe partageait aussi mon amant et était manifestement tombé sous la coupe de celui-ci.
Ils demandèrent à passer la nuit ensemble. Ne pouvant dormir, je me masturbais en entendant les cris de plaisir des amants, et surprenais aussi des mots d’amour adressés par Philippe à notre mâle. Au petit matin, je les rejoignis, prenant soin de lécher le sperme qui coulait du fondement de Philippe et de lui vider les couilles. Puis je m’offrais à Rachid, dont la saillie m’avait tant manqué depuis la veille. Nous nous sommes ensuite endormis. Désormais nous formions un trio, dominé par Rachid.
(à suivre)

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